Titre Original : The Killables
Auteur : Gemma Malley
Nombre de pages : 315
Edition : Michel Lafon
★★★
Résumé :
Tous les sentiments ont été bannis de la Cité, la haine comme l’amour. Ses habitants ont subi une lobotomie afin de garantir la paix. Etiquetés de A, Admirable, à D, Déviant, ils vivent dans une harmonie artificielle.
Pourtant Evie, seize ans, aime Raffy en secret depuis toujours. Et lorsque le Système ordonne de l’expulser sur les terres des Maudits, elle décide de fuir avec lui. Mais au-delà des murs de la Cité se dresse le plus grand mystère qui soit. Quand on sort du Système, nul ne sait ce qu’il advient de vous…
« Un changement d’étiquette n’est ni triste ni gai, c’est juste un fait, un fait que l’on provoque soi-même. » - Le livre des Sentiments I, 26.
La chronique de Belly :
J’ai été déçue par ce livre. Je ne dis pas qu’il n’est pas bien, juste qu’il m’a déçu car je ne m’attendais pas à ça. Je n’ai pas accroché aux personnages, à l’histoire. Je n’ai pas compris les choix de l’héroïne. Et je n’ai pas aimé ce triangle amoureux, ni la fin. Je me demande juste s’il y aura une suite car la fin… m’a laissé sur ma faim. C’est assez confus, on ne sait pas vraiment la fin de l’histoire : vont-ils mourir en essayant de rejoindre la ville de tous leurs espoirs ? Et que va-t-il se passer à l’intérieur de la Cité ?
J’ai trouvé que l’histoire a pris trop de temps à commencer et que du coup, la fuite avait été survolée. Pendant le premier tiers du roman, Evie se demande si elle est bonne ou mauvaise. Un tiers du livre ! C’est trop. Les lecteurs occasionnels s’ennuieront à mon avis. Après, peut-être que vous l’avez lu et que vous ne pensez pas du tout la même chose que moi, c’est votre droit. Et même si vous ne l’avez pas lu et que vous hésitez à l’acheter, je vous le conseille quand même. Car peut-être que vous le trouverez formidable.
C’est un petit avis, certes. Mais j’ai mis du temps à le rédiger en raison d’une semaine très chargée. J’ai oublié quelques détails et il n’est pas trop complet. Pardonnez-moi pour cet écart !
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